Comment se fait-on un cancer ?
D’après l’article du Dr Mohammed Haddad.
« Suite à un choc émotionnel brutal et tout à fait inattendu (DHS : Dyrk Hamer syndrom), auquel le cerveau cognitif ne peut ni faire face, ni trouver de solution, le temps s’arrête à l’esprit de la personne. En effet les sphères des temps s’écrasent sur la personne ce qui lui fait perdre toute notion du temps et d’espace. Le cerveau archaïque percevant un danger de mort, questionne l’aire cérébrale matérialisant la nature du conflit subi. S’apercevant de son silence de mort (car elle est devenue foyer HAMER), il fera appel à tout son potentiel de mémoire afin de remédier à ce danger.
Le satellite MH se trouve propulsé au champ du stade fœtal, ce qui indiquerait au cerveau archaïque d’après la localisation du champ MH, que l’organe tend vers une jeunesse après sa mort constatée. C’est à travers la mémoire de l’embryogenèse que cet ordre de multiplication est transmis par voie satellitaire, à l’image d’un réseau GSM, où l’être humain se recrée lui même. Or à la dimension humaine, on ne peut créer sans détruire. C’est un nouveau corps ou une partie du corps qui renaît de manière diabolique, où les foyers cancéreux sont les nouveaux organes, disposant de leur propre vascularisation, pire encore, certains praticiens notent même l’émergence de nouveaux méridiens d’acupuncture de nature hautement énergétique entre la tumeur primitive et les métastases.
C’est à travers ces nouveaux méridiens énergétiques que la tumeur primitive opère un contrôle sur l’évolution des métastases « Ce qui explique, entre autre, la flambée métastatique après ablation de la tumeur primitive, observée parfois chez des patients opérés ». Toutes les personnes, aussi bien portantes qu’elles soient, disposent de satellites MH, qui sont peut-être même hérités génétiquement. Ces personnes (cliniquement saines) n’ayant pas subi la perception de l’arrêt du temps (suite à un choc émotionnel), il en découle que de multiples infections pourraient naître facilement sur le site (l’organe d’où émerge le satellite) vu que la base du temps de la partie organique observée se trouve incitée à une accélération temporelle. Souvenez vous qu’au moment d’un choc violent dramatique et brutal, (DHS) nous avons l’impression que le temps s’arrête, même si nous sommes en pleine circulation, nous verrons les voitures et les passants s’arrêter. Cet arrêt du temps marque la mort. Fort heureusement, il ne s’agit que de la mort expressionnelle d’un organe symbolisant le problème, mort inscrite uniquement dans notre champ temporel d’existence, traduite par l’expression d’un organe, qu’il faudrait faire repousser dans un ultime acte de survie. En effet une question importante peut se poser : si le corps veut recréer un organe, pourquoi passerait-il par le biais de la mutation cellulaire invasive ? Pourquoi ne déclencherait-il pas l’émergence de tumeurs bénignes dans l’organe à faire renaître ? La réponse est un peu troublante : Notre cerveau primitif, s’apercevant de la mort expressionnelle d’un organe ayant son satellite MH dans l’espace de l’embryogenèse, veut le recréer. Il s’agirait d’une renaissance après la mort, qui ne peut passer que par le processus d’une vie éternelle : L’immortalité dans le mortel : N’est-ce pas la caractéristique de la cellule cancéreuse ? Nous pourrons expliquer cette dernière notion à travers les dessins. Nous constatons qu’à certain stade de la vie, la distance satellite corps met en évidence la localisation de l’espace temps fœtal qui a bougé depuis la naissance.
Or la mémoire, notre mémoire, se rappelle que cet espace au stade fœtal était tout près du corps. Puisque la mort se situe au même espace que la naissance, notre cerveau archaïque trouvera qu’il s’agit d’une jeunesse nouvelle après la mort, ce qui signifie pour lui une immortalité. Ce qui prouverait peut-être la notion d’une vie éternelle après la mort, annoncée par toutes les théologie… C’est à travers la maladie cancéreuse que l’humanité comprendra ses vraies dimensions, qui ne se résument pas à un corps comprenant une pompe à sang, des filtres rénaux et pulmonaires, avec une notion de calories alimentaires, comme s’il s’agissait d’un moteur à essence. L’être humain est la création la plus performante dans cet univers. Rien, absolument rien n’a été oublié concernant sa survie. « Nous avons négligé notre essence, nous avons oublié qui nous sommes, des créatures, potentiellement créateurs ayant reçu un souffle divin”. »
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