La maladie serait elle une distorsion de l’espace temps ?
La maladie puiserait elle son origine dans nos mémoires émotionnelles altérées qui affectent notre espace temps physiologique ? je vous partage ci-dessous les réflexions du Dr Haddad.
Les notions spatio-temporelles et l’homéodynamie fractale (par de Dr M. Haddad)
« Nous ne prétendons pas détenir une connaissance universelle, ni avoir tout compris. Nous avons découvert simplement pour la première fois, une nouvelle porte de savoir, accessible à tout un chacun.
Les altérations de l’état émotionnel de notre être conscient sont, au fur et à mesure qu’elles sont vécues, empilées et enregistrées sur le disque dur de notre mémoire (par ADN interposé). Ces mémoires affectent le niveau subtil temporo-spatial de notre être avec pour conséquence importante : la traduction psychosomatique de ces violences émotionnelles et leur transcription symbolique en correspondance organique. La maladie peut apparaître
L’Homme est de nature binaire
un corps de consistance physique et son double de nature quantique. L’être humain est un ensemble indissociable. Le corps humain matérialise une condensation d’énergie.
Renouvellement des cellules
À l’échelle atomique, notre corps se renouvelle entièrement tous les quatre ans. Le pancréas remplace la majorité de ses cellules chaque jour. Les cellules de la muqueuse de de l’estomac sont remplacés tous les trois jours, les globules blancs tous les dix jours, celles de la peau une fois par mois. Notre cœur bat 100 mille fois par jour, nos poumons respirent 25000 fois par jour. A chaque seconde dix millions de nos cellules meurent par apoptose (suicide cellulaire, qui remet les cellules à l’échelle moléculaire sans laisser de traces), et sont remplacées par d’autres, tout cela dans une parfaite harmonie.
La satisfaction de tous les besoins vitaux de l’homme, est possible sur terre.
Nous ne pouvons concevoir une existence de l’humanité aussi bien faite que ce qu’elle est, sans remède adéquat traitant ses maux. Pour vivre, on a besoin d’eau. Nous n’allons pas la chercher sur la lune ou la synthétiser. Il en est de même pour l’oxygène qui existe à l’état naturel sur terre. Toutes les fabrications ou transformations vont dans le sens du confort et du bien être, mais nullement pour un besoin vital. Les remèdes pour toutes les maladies doivent aussi exister sur terre, mais leur usage doit se conformer à certaines méthodologies et états de conscience.
Le cancer est une maladie qui existait depuis l’antiquité.
L’un des pharaons en était atteint (ostéosarcome, détecté sur ses ossements par les moyens modernes de l’imagerie). Il serait aberrant d’invoquer à l’époque de l’ancienne Égypte, l’alimentation ou la pollution atmosphérique comme cause du cancer.
Les officiels ne peuvent admettre que les causes des cancers et de toutes les maladies graves chroniques et incurables soient d’ordre psychosomatique. La notion de terrain ne sert que pour mieux lutter contre une maladie, mais n’empêcherait pas l’instauration de cette dernière. Approuver cela, signerait nettement l’arrêt de la recherche actuelle pour changer d’orientation, et aboutir au fait que le mental (en réalité un certain état de conscience) serait aussi capable d’arrêter le cancer comme il a pu le déclencher. Le corps humain est totalement auto-réparateur à condition qu’on lui donne les moyens nécessaires pour pouvoir réaliser la guérison.
Les maladies naissent quand la personne se détache d’un certain état de conscience
Tout porte à croire que les maladies naissent quand la personne se détache d’un certain état de conscience qui fait souvent défaut de nos jours, de sa spiritualité originelle ! Remettre les drames de la vie à une échelle supérieure et les accepter ne déclencherait point une maladie grave conséquente.
Modifier la forme libérerait du « temps » et de l’énergie, libérant de la même manière des messages correspondants. Jacqueline BOUSQUET dit : « Il vaudrait mieux manger la pomme en mordant dedans, plutôt que de la découper en morceaux… ».
Les dilutions homéopathiques sont des modifications de formes qui passent de la forme matérielle avec le produit de base, vers des états immatériels sur plusieurs échelles selon les dilutions. Les informations libérées s’échelonnent d’un niveau organique à des niveaux plus subtils. Tout est évolution dans le temps, notre vie comme nos maladies.
La santé (ou l’absence de maladie) se réalise quand le corps se situe intégralement au présent
Or pour une personne il est très difficile voire impossible d’avoir toutes les parties du corps au présent, car la génétique héréditaire est là. Elle crée des satellites de liaison entre nos organes et nos ancêtres. C’est en quelque sorte, une liaison du corps avec d’autres espaces et d’autres époques (temps). La conséquence conflictuelle vécue génère des images figées dans l’espace temps autour de nous, comme par exemple, le souvenir d’un parent nous giflant devant tout le monde, à l’âge de 3 ans. L’image figée est restée fixée dans le temps bien que la personne concernée aie maintenant 50, voire 60 ans. Or toute image fixe et figée relève de l’arrêt du temps.
Le temps qui s’arrête
Le temps s’arrête normalement dans trois circonstances, en cas de sommeil, en cas de méditation profonde ou en cas de mort. Donc une maladie chronique au niveau d’un organe ou une partie de ce dernier traduit sa mort ‘expressionnelle’ totalement ou partiellement. Mort non définitive puisque la personne est encore vivante.
Faire revivre cet organe : est-ce possible et comment ? Il suffit de lui redonner le « temps » afin de le ramener au présent. Prenez l’exemple d’une terre aride et non irriguée depuis des années. Comment voulez vous la faire revivre ? Certainement pas avec des moyens physiques ou chimiques.
Il suffit simplement d’irriguer le sol avec de l’eau. La même eau fait pousser du blé ou des pommes de terre ou du riz, une seule eau est valable pour tous types de plantations. Au niveau du corps, le concept est similaire, mais dans ce cas ce n’est pas l’eau qu’il faudrait donner, mais c’est plutôt le temps qui doit pouvoir y revenir et s’y installer.
Le FRACTAL est un support vibratoire qui donne le temps.
Le temps s’écoule comme l’eau, nous le subissons, et quelque chose d’extraordinaire fait que demain sera maintenant ; donner de l’amour ne suffit pas pour guérir … une maladie
Combien de malades sont morts dans les bras de leurs mères ou parents. D’ailleurs l’amour s’identifie à la haine, comme la lumière qui s’identifie à l’obscurité. Le temps, lui, est le support de tout et rien, rien car le présent n’existe pas non plus puisque maintenant est déjà passé depuis une seconde. Vous n’avez qu’à regarder votre montre, vous verrez que l’aiguille ne s’arrête pas (enfin si c’est une montre de bonne marque !).
Donc donner du temps c’est ramener au présent,
or ce présent n’existe pas, donc c’est ramener à rien car on n’est rien, et si précieux en même temps. La vie est mortelle or la mort est éternelle, on naît seul et on mourra seul. Gommer ces images figées de notre conscient est une priorité libératrice. Mais le pire ce sont les images inconscientes desquelles on ne se rappelle plus ou pas. Soit parce que les événements se sont passés dans l’enfance, ou même au stade fœtal de la conception. Soit qu’ils appartiennent à l’époque de nos ancêtres, peut-être déjà morts. Et qu’ils nous sont transmis génétiquement, dans l’attente d’une actualisation.
Or ramener un corps au temps du présent est une tâche assez ardue et difficile, car une évolution de l’état de conscience doit suivre en même temps. La solution passera par la dissolution du moi, de l’ego de la personne, ce qui donnera la vie au cœur en retour. Et si le cœur voit tous les organes le suivront et verront. Se rattacher à un espace temps éternel c’est s’assimiler à une divinité. Ceci actualise au niveau du physique des maladies chroniques éternelles dans un corps qui lui, est mortel.
Est-ce qu’un examen radiologique pourra nous dire si une personne est heureuse ou malheureuse ? Déprimée ou dépressive ? Voire suicidaire ? La joie et la tristesse sont elles cubiques ou pyramidales ? Nous vivons avec nos sens et nos sentiments. Peut on savoir où naissent les idées et où naissent les idées d’avoir des idées. Où se situe l’amour ou le pardon ? La rancœur ou la haine ?
En médecine, croire en ce qui est uniquement visible, pondérable et mesurable c’est assimiler l’être humain à un corps mécanique sans âme.
La réalité est toute autre.
« Vous êtes plus important que vous-même ». L’être humain est plus important que lui-même. L’univers est dans l’Homme, dans l’Homme aussi il y a l’univers, le macro cosmos dans le micro cosmos.
Le Professeur Aziz El Amrani (Professeur en médecine au Maroc) cite dans une revue de la SIRES (Bordeaux) : » Tout corps, quel qu’il soit, est la résultante d’une impulsion potentielle, dont le développement se déroule selon une trilogie. La programmation vibratoire, qui prépare le champ à une potentialisation énergétique, pour aboutir à une densification de la matière. Chaque type de pensée crée une perturbation au sein de ce champ vibratoire. Et déclenche toute une cascade d’événements vibratoires . Ils cristalliseront des états physiologiques correspondants. À chaque instant on peut dire qu’on est en présence d’un corps en perpétuel changement (…)
Tout est dans tout et la partie révèle le tout…
Le système nerveux humain ou plus exactement le cerveau, joue le rôle de filtre des événements. De ce fait il entre en résonance avec le champs vibratoire de structure (…) Si par un quelconque événement émotionnel intense, la résonance se trouve perturbée, il s’ensuit qu’une région neuronale va vibrer différemment des autres. Elle pourra ainsi générer un effet déstructurant sur l’entité vibratoire de l’individu. Lequel va créer par voie de conséquence, un état physiologique correspondant «
La médecine allopathique officielle garde tout l’honneur en termes d’urgence.
En effet suite à un accident de la route par exemple, il faut impérativement se diriger au service d’urgence. Suite à un infarctus ou un A.V.C (Accident vasculaire cérébral), il faut se diriger absolument aux urgences médicales.
Mais le problème réside actuellement dans les maladies dites graves ou chroniques. Chacun de nous a un ou plusieurs parents ou amis qui sont décédés face à une médecine qui déclare « qu’il n’y a plus rien à faire ». »
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